Ça
me gratte
les glandes
mammaires
les
grosses burnes
tombent
secouées
par
l'encens
semé
aux quatre
vents
pèse
ce sac
qui
saoule
d'avance
avant
de savoir
de
ce savant
savoir
qui
me frappe
et
qui engrosse
les
couilles
urticantes
de
la baise
qui
pisse pas assez
quand
on pense
que
penser
renâcle
sans cesse
du
savoir
collé
à la peau
qu'on
retourne
sur
le gland
volcanique
et
chaud
rougi
à blanc
du
blanc chié
qui éjacule depuis
l'origine
depuis
ces
dieux
convulsifs
qui
me branlent
le
sexe juteux
jusqu'à
l'os
meurtri
du
temps
qui
secoue
la
semence
religieuse
inviolée où
qu'on
visite
ce
con
en
herbe
divinement
dessiné
par
l'homme
reclus
en lui
pour
tuer cette
vertigineuse
érection
qui
se dresse
devant
lui.
Thierry
Texedre, le 21 février 2015.
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