Envolée
la reine mère
sur
les océans virtuose
par
les vagues à l'âme
de
ces défloraisons du
sexe
suave de l'automne
avance
sur cette vague
vivante
par des attraits
tressant
ses cheveux
d'un
fil d'or ouverte à
tant
de postures nage
amoureuse
du grand
tremblement
de la chair
écartelée
gorgone de la
peau
pénétrée en jeux
juste
finis mains liées
quelle
lame de fond va
perturber
ce sacré sans
ces
orifices prestigieux
là
vole dans le silence
le
doux filet cueilli dans
les
eaux dormantes de
ces
larmes postérieur
d'une
ultime caresse par
quel
antre l’œil ressort.
Thierry
Texedre, le 1 novembre 2015.