De
l'attraction des corps
L'attraction
des corps, certitude puis éviction d'un recentrement du vrai et du
réel. Sur quelle tempérance l'espace qui montre l'alternative de
penser, va-t-elle occasionner l'incertitude de rencontrer ce qui
tente le jeu musical ? Dans une rencontre peut-être avec la peinture
qui se coupe du lieu de l'espace de son sujet et de l'histoire
transposée en culture, pour montrer un autre temps, un temps que la
musique n'aura plus le temps de faire entendre, du moins dans
l'espace même socialisé, du même temps d'exposition que la
peinture entrain de se montrer à l'intelligence qui s'entend
reconnaître un objet à représenter. Faut-il interférer, couper
court à ce lieu de la réfraction de deux temps comme vérité (la
vérité ou vériance serait cette constitution/structure qui
montre l'impossible similitude qui parcourt l'acte d'association - la
vérité ne rencontre jamais l'être), sur ce socle invitant à une mise à mort, mise en perspective de la cessation du véridique
(qu'elles soient de l'ordre d'une mise en vie-duplication de celle
humaine, pour montrer la mécanique,
la marche, le déroulement de toute vérité par sa
configuration/mise en répétition dans une démonstration et le
maintien dans la vie de l'humain réparé) tentées pour n'être qu'à
l'aune d'une autre ère, toute sa possession rituelle du calcul
exponentiel de la vie dérivée, à cause de cette information qui
n'a de pouvoir qu'à risquer la mise à mort de l'objet du désir,
l'architecturale monstruosité d'une représentation d'objet ( ou
obvie ), et cela depuis quelle dépense ?
*
Le
risque lent
de
provoquer les sens
en
apesanteur
montrer
l'effet
qui
traque la peau
caressante
fournaise
qui
monte monstre
insensible
jaillissant
des
battements
du
cœur invité
au
risque douloureux
d'engendrer
l'acte
vulgaire
et tellurique
du
désir du discret
déferlement
qui
sort la peau
de
sa gangue
par
le souffle
invité
au diapason
quelle
grâce
la
chair se risquant
rougeoyante
l'apothéose
en
tremblements
occultes
et l'esprit
lui
par sa mémoire
la
lumière du dedans
de
ce damné corps
tenté
par un plaisir
puissant
et de travers
compromet
l’œil
resté en suspens
*
Thierry
Texedre, le 13 mars 2017.