lundi 26 mars 2007

monstruosités 3

Pourquoi questionner ce corporel qui se rue!
Attendu qu'un corps descendant va à la rencontre
d'une tête qui marche, qui marche sur l'image qui
passe. Attentif à cet acte de débauche extrême,
l'humain est pris la tête dans le sac! Tête à un oeil,
central, sur son front, sur le front du pensant dépris de
sa mesure par sa démesure comme centre névralgique
qui le conduit au multimania; ces multimédias,
hystérie qu'une psychanalyse aura eu soin de déplacer,
de tapisser sur tous les écrans du monde contemplé.

monstruosités 2

De quel espace s'agi-il? D'errer, d'aller dans ces "rues/
passages"(le mot rue n'est pas lié à l'entre-deux du privé,
de l'invisibilité-intériorité architectonique, mais au rejet
qu'un corps peut de se priver d'être!), où des entités
humaines vont tenir comme une reconnaissance et viennent,
laissant planer un regard "vidé" de ce qu'en notre fin de
vingtième siècle on avait attribué à la "figure"(lire marcelin
Pleynet sur "question de figure"chez dominique Thiolat),
figurative serait la réalité des corps liés ou livrés au présent;
d'un présent producteur de folie.