Ultime
feinte
de
la terrible
vie
qui couve
cet
offertoire
rate
éclatée
du
sortilège
des
mots et
us
usurpés
attiré
par la
folle
servitude
écervelée
las
du
carnassier
couché
dans
les
habits de
la
nudité qui
chasse
du lit
douloureux
l'infini
corps
voilà
que le
souffle
hideux
s'éprend
d'une
lueur
qui va
le
pénétrer
pour
l'ouvrir
à
cette âme
qui
à la paix
ressemble
le
moins tout
au
plus à ces
battements
d'ailes
qui
vont
s'évader
en
chantant
pour
piquer
de
leur lance
le
bec acéré
la
communion
infamante
du
péché de
croyance.
Thierry
Texedre, le 28 février 2014.