Visage d'une mort
Touché
un jour de gloire
Ce
corps étendu du temps
Se
glisse et pleure
Passant
au jour levant
Par
l’entendement du blême
Refuge
pourchassé de
La
peau meurtrie
Au
centre de ces cris
Vite de ces vicissitudes
Vite de ces vicissitudes
Intérieurs
mal refermés
En
plaies sanglantes
Longeant
la rive
Pullulante de
ces veines
Ensorcelées
et tombe
Sur
le regard indécent
De
la disgrâce les yeux mi-clos
Point
de retenue ni
D'empressement
devant
La
mort ma bien aimée
Seule
au monde indigne
Celle
qui caresse tant la vie
De
ses attraits ô couche
De
l’endormissement
Au
silence et au recueillement.
Thierry
Texedre, le 12 octobre 2019.