La
mort viendra...
Aussi
belle
autour
de toi
danse
au vent
ta
robe blanche
couverte
par l'or
fondant
au soleil
il
luit ô grand
feux
follets
jusqu'au
gisant
volé
au temps
tant
espéré
tant
aimé
du
désir
arrêté
au devant
de
ces errances
découvertes
par
un hasard
celui
de la mort
invitée
au repas
un
soir de la vie
voile
austère
qui
tombe sur
la
tête visitée
du
ricanement
devant
l'incendie
volontaire
du
corps né
d'avoir
rendu
possible
la vie
respirée
par
l'entrée
de l'air
du
repos en vers
du
dedans sortant
pour
l'emporter
les
pieds en prose.
Thierry
Texedre, le 2 juillet 2015.