lundi 15 octobre 2007

De la chair sans fin 11/13, le Vide et l'Objet.





















Guo Xi (1001-190) 1072
"Le souffle-énergie se déployant en grand Vide originel
s'élève et s'abaisse, et évolue sans cesse tel est le ressort
du vide et du plein, du mouvement et du repos, le départ
du yin et du yang, du dur et du malléable." Ishih Chung

De la chair sans fin 11, le Vide et l'Objet.

Attention que la chair ne soit le rêve à attendre
que la chair soit ne puisse qu'entraîner une
résurrection de toute corporéité une lisibilité
du corps entouré de ses sens et de la pensée qui
fait corps et ce dans une certaine temporalité

le Vide tient le Sujet pour responsable de
son Être

un faiseur de sens dans le vide de son articulation
pour clamer que toute cette résistance que cette
division des corps entraîne leur chute dans une
certaine numération une comptabilisation des
charniers de cette chair de la peau-chair
qui en redemande pour ne pas être prise dans
l'oubli de son divin pensant de son être de son
état de grâce à cause de la chair qui tombe du ciel
pour qu'un pensant prononce son état de passion
là encore une autre révolution vient marquer de
tout son poids l'être socialisé qui n'a d'autre
ressource que de voir dans l'infini format d'une
picturalité descendue de la chair mais livrée à
d'autres tentatives à d'autres secousses à suivre
encore donc cette ultime révolution tourne la tête
à l'image de l'être pensant à sa conviction
d'existence c'est de cette jouissance que se tire
l'individuation à cause du commun cette
particularité est importante parce qu'elle est
impossible à envoyer au diable à partir de ce rire
de cette allocution ascendante cette prise de
son va convaincre l'être à ne pas tenter un
totalitarisme dans la vue car il faut en passer par le
son par la voix la loi qui fait lecture qui socialise
pour tenter une séparation de l'être et du sujet
de l'être qui perd toute sociabilité par excès d'une
impossible appropriation de son sujet de la
subjectivité à cause de la chair cette éjaculation
des sens cette entrée d'où est sortie la subjectivité
entendu par cette chair qui provoque une dérive des
corps des corpuscules des enterrements sautés
parce que la chair fait se taire l'être d'une corporéité
impossible à livrer à la tentation

le social jouit avec la chair

la tentation de se livrer à d'immondes déflagrations
d'abjectes copulations que l'être tente à jouir par trop
d'impossible mémoire que l'être tend à perpétrer
une jouissance sans fin ni commencement du moment
qu'on s'occupe de lui qu'on l'aime de cet être aimé qui
procure d'insatiables rêveries de vouloir y retourner
à l'image intemporelle hypnotique iconique qui fait
que ce corps délirant voit on ne sait encore quelle
image la picturalité n'en a pas fini avec cet aveuglement
de couleurs maltraitantes qu'il faudrait décrier haut
et fort pour y remédier pour qu'on livre l'être à son
internement à son fou afin de ne plus discourir à
l'infini sur cet état de fait que le corps n'a pas besoin
d'en parler pour faire état de chair pour en jouir du
pensant passé à traverser la chair sans avant ni après
sans profondeur ni surface sans espace ni temps
seulement son souffle-énergie face à l'objet l'autre rive
seulement de sortir cette chose l'âme d'un cri
polyphonique pour le marquer scripturale
comme seul état de fait avéré socialement et
communément dans le seul l'Un l'unique traitement.