lundi 22 octobre 2007

De la chair sans fin 12/13, la figure picturale.


















untitled 1961 Cy Twombly 256 x 307 cm

"
Les signes déconstruits de cet ancêtre des grapheurs, son trait,
disent un monde "figuré", désintégré. Mais également, un
monde de mouvement, non fini, en devenir." José Ferré

Mettre le sujet devant la figure picturale.
De la chair sans fin 12, la figure picturale.

Seulement de sortir cette chose chair imaginée
comme telle la douleur de sa profondeur
surface de son toucher ne pouvant représenter
la foi à cause de sa figure tabulaire nous nous
retournerons vers ce qui fait la liaison ce qui
caractérise l'audition de la subjectivité faite
vréel hologramme pour traduire une approche
du commun en ces termes nous nous proposons
d'amorcer de rendre compte d'une interprétation
sur la chair faite esprit de l'esprit d'un sujet que
la subjectivité faite chair divinise à rebours via
l'Un comme d'un symptôme du commun de ce
que la subjectivité clôture dans le dire et du dire
à la scription interprétée comme chair comme
matière du sujet parlant

appropriation

que le scripteur s'approprie son pensant comme
naissance d'une subjectivation c'est en cela la
matière qui lui vient par cette reconnaissance cette
résurrection d'un parlant qui fait de la chair un état
pensant une sublimation de l'état de contemporanéité
de l'individuation de l'être pris dans sa finitude
sociale d'un social qui ferme le corps dans la
représentation dans la croisée de l'art paléolithique
et de l'art contemporain introspectif post-surréaliste

nudité

vestige d'une vérification de ce que la chair tente de
tendre la trace pour fondre le corps dans l'apparition
du proche de la vision primordiale cessant d'exister
à l'instant précis où le signe signifie où le signe
produit la foi vestige au plus près de l'entrée de la
chair dans une langue dans un défilé respiratoire
affect et tentative marquante réunir pour inviter la
pensée à délier à socialiser à produire du désir à
livrer le corps à l'assaut de cet inconscient qui ne
sera jamais terminé puisque l'Infini enfin visible
et parasitant par leslangues qui rendent insignifiant
tout le pensant en l'énonçant comme être dans sa
plus simple expression dans sa nudité originelle

tentative d'extraction du social

de respirer cet infinitésimal ce rien à peine
perceptible pour clore ce que la chair a toujours
emporté la raison si ce n'est son infestation le
raisonnement doit mettre le sujet devant la
figure picturale pour surseoir à son manque
d'identification son noeud d'y rendre dans l'infini
l'être à cause d'une temporalité liée à la respiration
la représentation entendu par là ce que jamais
aucune société n'a encore permis d'identifier
d'inventer d'intenter de faire de la loi pour tenir
sa société dans un format celui de la scription
en tant que de ne pas perdre cette loi de ne pas
perdre son dire corps d'écriture tant que de la
peinture peut de peindre la chair son sujet du corps
à la chair et de la chair au pensant à l'annonciation.





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