Nana
ou peur de qui de quoi
ou peur de qui de quoi
Comme
si l'esprit usé
ferraillait
encore
avec
ce corps
habité
dehors
marchant
tant
sous
les volées de bois
protégeant
de la chaleur
d'aucune
façon le temps passe
s'arrêter
alors pour se plier
une
dernière fois assise
sur
l'herbe fraîche
au
milieu du chemin
la
robe bien moite
et
dessous collée la culotte
souffrant
entre les jambes
elle
fragile jeunesse
reprend
ses esprits
tout
en admirant
autour
au dessus
d'un
regard naïf
et
généreux le ciel.
Thierry
Texedre, le 6 septembre 2017.
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