Mouvements
Sur
quelle onde
porteuse
se tient
l'or
l'âme les battements
du
cœur incertain
depuis
l'origine de cette
humanité
ouverte
au
risque d'amour
dans
ce magma monté
dans
l'origine du drame
impitoyable
de la guerre
grandeur
du corps
envoûtant
devenu
incertain
par cette
mémoire
rituelle
mémoire
musicale
en
mots inquisiteurs
par
quelle peur
par
quelle fin
le
corps rend l'âme
au
vent ventricule
d'une
chair charriée
par
le cours qui a jailli
de
ce format peint
pour
avoir vu l'au-delà
l'autre
sphère du temps
passé
en images
qui
sourdement vont
rendre
à la parole
une
nouvelle identité
programmatique
et que
l'inconscient
inventé
pour
envoûter
sonnera
sa fin encore
pour
sauter sur
l'inconsistance
du
jeu inassouvi
de
la vie visitée par
ce
sacré peint en retour
d'une
insoumission du corps
au
photographique ni
au
cinématique
et
psalmodié dans le pensant.
Thierry
Texedre, le 8 août 2016.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire