Sous
quelle émission
les
bruits vont-ils en
se
transformant en se
montrant
et changeant
de
pied depuis cette ivre
sonorité
d'une musique
entrain
de chanter la
mort
Te Deum pour un
jour
nourri pèle mêle
les
sons se remplissent
de
cet amour divin pour
une
vie en pleine éternité
s'embrasant
de la mort
dans
une rencontre quel
firmament
depuis ce ciel
de
la cicatrisation du corps
soulevé
par tant de maux
maudits
qui dévalent la
grande
impuissance de
l'homme
face à l'élocution
de
la douleur infinie d'où
sort
l'abstinence irrésolue
de
ce corps qui est martelé
la
chair suppose exister
en
partant de cette mort
insurmontable
quand bien
même
la vie se met à croire
depuis
la petite mort qui
chante
dans l'ivresse
haut
et fort ce requiem
communion
en contrastes
insupportables
de la plaie
de
la lumière dressée de
ces
corpuscules indécents
et
indigents jusqu'au bout
de
la nuit noire en pleurs
accomplis
en danses niées
du
gosier trop sec pour
contracter
la peste langue
en
vers innocent râle juste
à
temps avant que cette
parole
de verbe n'arrive.
Thierry
Texedre, le 8 avril 2013.
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