Sortie
du cloaque vissé au corps de la fin
… Sur
la fin, ce récitatif semble austère et inapproprié - restes sur le
côté, miettes interminables du texte soulevé par la chair de
l'irruption cutanée - on croirait l'invincibilité de la parole
remisée au centre de l'apparition du récit éclaté. Vulgarité de
l'extériorité de la parole en langage traversé par l'objet de sa
compréhension, de sa traduction aussi, comme incidence de ce corps
double et un ; corps insoumis à cette langue puisque mis en
peinture dans des signes, juxtaposition du choc des sons et des
formes en écho, par l'allongement de la lecture, depuis
l'interrogation que l'interdit d'un désir inoccupé soulève.
Réflexes du corps pris dans les mouvements de ses membres, parties
d'un presque entier hurlement de la chair, pour empêcher la douleur
immonde d'entrer en relation avec l'absence de vie, suite instable du
temps en déplacement, retard possible de la mort pour mettre la
douleur au centre du corps ; réaction depuis l'intellection,
vers l'insoumission de la chair à la douleur insurmontable...
Thierry
Texedre, le 10 juillet 2015.
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