Strophe apothéose
du
temps qui part
au
plus pressé pour
pousser
derrière la
voix
une longue
litanie
en pleurs
mauresques
ment
devant
cette vérité
multiple
éradiquée
de
ce temps pressé
mensonge
ultime
de
ces songes bus
par
tant de tentative
de
la folie qui exulte
pauvre
passagère
du
départ pour l'avent
du
désespoir d'errer
du
paradigme dissout
du
drame d’iniquité
de
la désolation du
temps
inventé pour
avoir
l'imposture de
soutenir
le désir clôt
de
parler l'infini corps
en
menstruel tort
sans
voix et sans
sens
aucun depuis
cet
irascible forçage
depuis
le souffle imbu.
Thierry
Texedre, le 17 décembre 2013.
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