quelque part au dessus des voiles
clairs
sondent ceux qui trouvent terrés
au fond
de quelque disposition à soupirer
en résidence
devant le grand soleil irradié
chaleur
à rougir à ronger les esprits honorés
tout
ces voiles vont et viennent se balancent
où sont
les oms les fems ayant perdu le nom
la parole
celle qui prévient d'une jouissance acte
d'amour
envahis de la terreur par le manque de
sens
sans cela rien du voile n'aura le regard
immaculé
transmué en un volume en ombre portée
sans sens
sans cette blanche élévation le dire
sombre
dans les méandres dressés de l'horrible
plongée
dans le rouge dédale de sa chair
ouverte
coule sur eux le vrai regard manifeste sous
la parole
du dire déplié image imaginée qu'une
contemplation
viendra relever pour monter lors de
l'annonciation
en l'esprit en celle figure nouvelle et
forme
de la beauté infinie de Dieu
mai 2007, Thierry Texedre.
Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
Peinture/Musique
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