Sur
le sang
avéré
du lit
honoré
entre
les
lignes de
ces
dessous
indécents
se
livre
la peur
pour
rire du
grand
amour
oublié
en coup
de
maître nu
ni
d'avant ni
du
dedans nié
ce
sang lent
va
louant les
anges
d'avaler
par
tant de cris
évanouis
la vie
pour
la vider
de
ses poux
puants
en râle
sanguinaire
là
est
l'oraison
funèbre
tout
en
chantant
l'étreinte
tirée
de
ce spectre
pubis
entouré
de
quelle nuit
du
désespoir
au
milieu tiré
ce
trait posé
rosi
et béat
pour
passer
un
temps par
dessus
cul et
dentelle
pliée
sous
les deux
rondeurs
du
derrière
bombé
impressionné
devant
ce grand
échalas
de verge
vestige
de l'art
vestibule
du
fond
indécent
de
l'âme hurlée
d'un
viol attrapé
par
tout ce mal
aisé
de l'infini
fisté
finalement.
Thierry
Texedre, le 12 mai 2013
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