“Mon but n'est pas de figurer un objet ou un site mais de figurer la pensée, de donner celle-ci à ressentir. Mon sentiment est qu'une œuvre doit s'adresser immédiatement à la pensée, mettre celle-ci en mouvement, et pour cela parler son langage, ou du moins parler un langage dans lequel la pensée peut se reconnaître. Elle ne le peut pas, à ce qu'il me semble, dans les images qu'on appelle réalistes”.
Fracture
Le
train-train est périmé
insistant
et esseulé l'art
de
montrer l'entrée
dans
l'intelligible
se
fait plus pressant
montrant
par là
ce
sacré en gestation
fil
conducteur du sujet
forclos
et arrimé
au
risque de parler
cette
fin de la croyante
exactitude
de la chose
en
lieu et foi
pour
risquer un vrai
désaccord
avec son récit
en
lois qui fourvoient
l'état
d'urgence
du
contrat social
fragmenté
et polymérisé
en
jeu de la dépense
de
la matière
et
de l'image
pour
béatement
revisiter
l'être
et
la croyance
dans
cet infini
fermé
au stade
de
l’exceptionnelle
visitation
du néant
courtisé
par ce coup
de
dé dépendant
d'un
hasard aboli.
Thierry
Texedre, le 21 février 2017.
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