mardi 24 juillet 2007

la scription comme révolution, AUTRE/SUJET - 13 / 14




















l'écrivain,19 x 32 cm Mathilda De Carpentry




Autre/Sujet - 13



Dans quelle division de l'être
se souvient le sujet pour parler
et quelle affaire doit-il prendre
au sérieux pour l'isoler le rendre
indépendant sinon une affaire de
corporéité où la chair n'a que faire
du dire sinon de lui substituer
les organes marque de son
indépendance de sa verticalité
comme indécence course de
l'animalité recouvrement du site
de l'autre du délire pulsionnel
d'une division du sujet ou son
insoutenable position face au
parlé par le simple fait qu'il
ne tient que de n'avoir jamais
aucune position tenable tant
que dure le dire tant que la peinture
vient excéder la vue une autre
approche du problème que pose la
fixité de l'être parlant dans un
cadre social constitutif de la
société humaine lovée dans l'infini
sinon que c'est l'être qui est divisé
pour mieux parler de se sortir
d'une subjectivité dont il ne peut
extraire la conscience et même
la forme transfigurable rien à voir
donc avec l'histoire du monothéisme
cette autre loi passe par un transfert
de l'Un via le Sujet comme structure
de ce qui fait pour le moment et
qui au présent n'a pas d'existence
qui fait inconscience dans la mesure
de notre analyse verbale du champ
subjectal la résurrection est passée
par là on s'en doute dans la mesure
où l'identité est encore du ressort
du pensant faut-il penser pour
identifier le rapport de l'autre au sujet
faut-il mourir pour rendre compte
de l'architecture monumentale en train
de se mettre en place dans l'écriture
du XXIe siècle de la scription comme
révolution permanente de la subjectivité.

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