Sous le
couvert du chant
indivisible
de la terre
odeurs
irradiant le nez
pour
l'enflammer reniflé
au plus près
de l'esprit
oh dame terre d'ivresse
redondance
des errements
qui
improvisent pour sortir
anonymat du
sujet subjugué
respirant par
le ventre
de la terre
tellurique
les ombres
vertes
s'emmêlent à
travers
l'errance du
temps
les branches
marmonnent
c'est l'épais
refuge des eaux
le bord
profond enfonçant
la vue du
dehors endormi
dans cette
peinture pâlie
l'escapade de
l'intime fuit
jusqu'à
disparaître au lit.
Thierry
Texedre, le 14 mai 2018.
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