Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
Peinture/Musique
samedi 16 juin 2007
musiques / du collage parodique à l'élan passionnel
Alfred Schnittke
le 6 avril 1989 à Moscou
"... Le quatuor à corde No 4 composé en 1989 représente
un aspect plus ramassé et plus sombre du compositeur.
Il laisse une impression de nuit obscure parcourue de
quelques gémissements, une "suite lyrique" sans amour
composé en cinq mouvements. Ce quatuor dure environ
38 minutes. Ces mouvements donnent la prépondérance
à l'obscure pour terminer dans le silence..."
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