Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
Peinture/Musique
dimanche 13 juillet 2008
D'une lamentation à une résurrection
la Résurrection du Christ 1634-39 Rembrandt
Lamentation lente de la division
du dire qui rend l'âme à la liquidité
autisme de la parole qui fond sous
le soleil liaison au corps absorbé de
l'homme humanité de la conscience
livrée au pire la féminité la réalité
de cette insipide rhétorique du pan
privé obligé de regarder obliquement
sentant l'aire de la parole se liquéfier
l'absoudre pour une éternité impossible
à rêver il y a eu comme une pression
devant un devenir ivre de grandeur
malgré l'homme à ses dépends ou si
on veut dans l'introspection probable
de l'inconscient qui va rivaliser avec
l'animalité plus générale et encore
à découvrir à tenter ce qui revient au
volume voir n'est pas une affaire liée
à l'apprentissage ni à la culture mais
c'est bien une histoire de la disparition
de sa surface découverte par l'abstraction
en peinture voir est une surface pas un
volume tel que un peut se diviser en deux
ce vol intempestif du dire doit aussi se
diviser pour découvrir son volume sa
césure est ce qui marque et manque à
l'homme pour se sauver de l'incalculable
erreur qu'il prend pour le vrai et qu'il
atomise de trop dire et de dire dans la
dépense autre erreur majeure de la seule
civilisation dont nous avons dépendu
celle du monothéisme qui tend à son
autre face une ouverture celle diptyque
quelque chose qui a à voir avec son
raisonnement et l'image la résurrection.
Thierry Texedre Juillet 2008
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