Touche rouée en roue rature de l'élocution sur le drôle de rétrécissement du jeu de mains matière directement impulsive qui vous éclate à la face à force d'entamer l'entretien d'une thématique sur le songe savoir qui tombe à pic pour entourer et enfermer l'air du trou qui impulse au corps sa vitesse de survie sa composition invitation à rédiger une entrée entourée par l'effet du temps sur l'indifférence de la musique sur l'affect affaire de compulsion de digression devant l'infestation des notes sur le couloir d'une audible lecture libre et entrée en atomisation en chair encore en chair en chair entendre la chair entonner un air une distinction musicale vite éteinte si la chair s'en mêle autant se livrer à d'imposantes effractions sur le corps le corps surface le corps sur la force de la chair carnivore combinaison de l'acquis et du néant du vide et de la surface comme il se trouve que la surface tombe sous le régime de l'esprit la chair vous tombe dessus à cet instant comme pour montrer que le corps s'essouffle le corps n'en peut plus de mettre les sons sous sa coupe sous cette peur passible de combinaisons mises en tête et en chair.
sur une musique de Magnus Lindberg
Clarinet Quintet, for clarinet and string quartet
Thierry Texedre, le 7 avril 2010
Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
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