Sol terre rouge du ciel gris va sortir une ombre
sanctifiée par l'état de grâce d'une absence d'un
lieu où tout s'ouvre paradis à venir à rencontrer
aux cieux drogue d'une terre affamée par l'image
qui la tourmente terre ronde dansée dans l'infini
diversion des peuples qui montent la garde pour
ne pas dormir de la mort immortelle si ce n'était
pas si simple que de naître dans les nimbes vers
la dénature la déraisonnable initiation du songe
qui remplace cette croyance infestée de poux de
tiques de nuisances vertébrales non rien que ces
nuages suspendus au dessus de nous notre vision
du passage vers ce paradis encore flou florissant
dans nos coeurs comme une pousse un bourgeon
au printemps pour que l'élévation soit plus rapide
du sol au ciel seul le cours de l'âme peut l'ériger
course de l'âme contre la pensée restant au corps
clouée au sol calamiteuse et vorace calculeuse et
trouée de par la peur peur de perdre la répétition
le signe qu'une mémoire existe pour créer une vie
après la mort mémoire résurrectionnelle et l'âme
mémoire et âme liées pour tendre vers l'autre vrai
tremblement celui de Dieu dont la parole seule va
permettre une phylogénie génétique de l'homme.
Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
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