Ce monde inimaginable encore dans un
proche passé, et qui n'existe que dans
une architectonique, la vraie vie-vision
peut-être? D'un espace où l'errance n'est
plus que dans ce seul passage-rue qui n'est
plus l'espace mais sa pensée.
La pensée a en horreur ce soit-disant vide
qui n'est vide que de figurer; c'est faire
l'image: l'abjecte motricité de la matière
qui se rue qui se joue de l'être croisé, chassé,
à la rue; l'intériorité étant vidé de sa
substance: encore le corps qui cherche
sa chair!
La chair qu'un "Dieu" avait fait homme,
et qui n'avait pu prendre forme qu'à
penser Dieu!
Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
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