Pourtour
dans ce champs
onomatopée
du chant
qui
outrepasse le temps
du
trou étiré d'un rien
invité
à sortir du sort
de
la rencontre de la fin
des
temps jeter le sort
de
soi juste pour ouïr
juste
en surface surdité
des
contours chuchotés
un
rien du déplacé passé
pour
ressasser et rater
le
jour du début du levé
lente
perte d'un temps
devant
soi dans un être
don
de soi solstice d'été
ténu
soit nourrit de cette
langueur
affligeante qui
passe
sous la paupière
davantage
avant de cligner
des
yeux face au rejeton
posté
là juste pour faire
peur
au corps découverte
de
la vie vitale virevoltant
regard
d'une voix voilée
sourdine
du temps tempéré.
Thierry
Texedre, le 5 mai 2012.
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