Temps
troué dehors caché
de
la fin du corps saturé
clos
d'une fin de la peau
claque
sur la fin en chair
de
l'être éternellement
érotique
espace de l'esprit
enfin
libre sous les sauts
impétueux
des organes
osés
en os posés sous la
renversante
chair désirée.
Touché
par la grâce des
deux
conférences cirque
de
l'audible maîtresse
versatile
de l'air respirée
l'esprit
saute telle une
puce
sur son antre rusé
rupestre
l'esprit n'est en
fin
de compte que ce très
long
parcours intérieur
de
la fièvre qui vous désire.
Torpeur
du corps aligné
sur
l'indécence des coupes
coutures
et coutumes
quatre
à quatre descente
dans
l'ombre organique
du
présent qui revient
en
mémoire à revers à
force
de respirer le risque
affligeant
des mots éclatés
l'attirante
variation du désir.
Thierry
Texedre, le 27 avril 2012.
1 commentaire:
Desire is indeed enticing. It consumes...
~SophieD
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