Ton trait ténu tourne le long du corps en pression tonitruante. Trace du trait trouvé là comme opéré par les sons en répétition. Ton en traitement oblique obligé juste pour oublier ce léger déplacement des sons. Pulsé du fond de la gorge du temps se répète la voix exposition depuis le fond des âges. On traîne cette informelle gesticulation du fond en cavité capiteuse du corps détouré. Réveil de cette effroi généré par les ondes exclamées. Exposition du corps devant l’œil rétracté en flou. Espace rétréci de l’œil. La musique a lieu. Le lieu est né. Du néant. Battement intérieur des sons en pulsations. Tourniquet de la norme en vie pulsionnelle. La mort du dire est dictée par l'essor de ce gonflement du dedans en danse excavée dans une sortie des sons de la chair. On se risque à résonner dans un bruissement léger de la peau sur la vie aérienne. Unisson du coup donné à la voix comme un déhanchement de loin du corps. Une prière pour entendre ce cœur battre pieusement.
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