Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
Peinture/Musique
jeudi 11 octobre 2007
De la chair sans fin 8/13, le corps consommé ou eucharistique, soit de la transsubstantiation.
Cène avec Marie-Madeleine à la place de Jean, Juan de Juanes (1520-1579)
De la chair sans fin 8, le corps consommé ou
eucharistique, soit de la transsubstantiation.
Incessamment inconsciemment certainement
encore une révolution qui fait éclater la
psychanalyse cette fois pour la laisser sur le
carreau et circuler à la droite de Dieu une fois
pour toutes l'inconscient ne suffit pas à la
société pour produire des lois et de l'être car
le pensant est là pour rappeler que tout corps
dérive par la chair la matière du sujet pensant
dont on n'a jamais prononcé assez son espace
de lisibilité de liberté sa prolifération à tous
les niveaux d'écoute de son écholocation pour
ce qui est de la production textuelle
reliquaire
s'il y va de la productivité c'est dans une
transfiguration que draine la chair parlante
que nous constatons un reliquaire qui porte
tout le poids de la textualité en çà celle-ci
est issue de la personne Sainte par une
transsubstantiation ce qui fait dire que toute
écriture ne peut avoir lieu sans la chaîne parlante
sans un sujet clivé mais amour par détachement
de soi sans sa source dans la fixité du point de
vue du social il en va alors d'une dernière
révolution qui fait taire le parlant et qui de son
parlé entraîne une chair dans l'infini raisonnement
de l'être pour en sortir une textualité de la chair
de son écoute de son chant une livraison qui
donnera lieu à d'autres débats dans une temporalité
liée à la lecture à l'audition
si l'image manque
pour entrer dans cette aire commune à l'état de chair
de chaque subjectivité ne faut-il pas entendre
raisonner un sens qui vaille pour une autre vue une
vie qui serait celle de l'être pensant sauf qu'il n'y a
pas à en attendre quelque chose de ce corps pendu
au cou de sa chair pour lui donner un coup pour son
immaculée conception car le bien n'émane pas
d'autre chose que des couleurs de la lumière puisque
c'est de la matière du sujet parlant que vont vibrer
les couleurs que se libère le bien entendu sur les
ondes de la toile tendue le bien peut alors traverser
les formes pour que soit dit ce dire et après coup
après ce coup de pinceau ce coup de boutoir c'est
ce qui pense qui va entrer en action dans la peinture
dans l'image mais l’œil n'en est pas encore au stade
de la représentation picturale c'est la parole qui
donne le ton qui donne la mesure et après seulement
après cette succession de figures productrices de sens
avec le nombre que l'écriture devient lisible à
moins que cette lisibilité ne passe par l'impression
avant de s'en donner à cœur joie dans une installation
de l'écriture le début de l'écriture le déploiement du
corps d'écriture ainsi fait loi par son manquement à
l'image par pure atomisation de la subjectivité qui
perd à ce moment précis l'annonciation d'une
résurrection ce sera pour plus tard la résurrection avec
ce qui bande ce qui bloque la perpétuité des corps.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire