Racines
« … Danse dans les
trous asséchés des orbites impuissants pour rire en draguant depuis
l'altérité du point culminant de l'extraction des yeux par cette
insoumise représentation tout éclat serait né de la transformation
d'un corps en dedans vu de l'extériorité là où la parole s'y
oblige pour ne pas chercher sa folie dans l'habitude et le non dit
fusionnels à cause de la marée de ce lieu social affalé sur
l'expulsion de l'emprise jubilatoire de la jouissance macabre
finissons ce récit inanimé pour nous livrer à cette respiration
onomatopée touchant au sublime racines de la parole pourquoi la
peinture est-elle si proche de ces mots alambiqués et grotesques
vrillés sous les puissantes pulsions de la tragédie qui commence à
mesure qu'on rende compte de ces états de dépendance au plus près
de l'enveloppement au format... »
Thierry Texedre, le 25
octobre 2017.
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