Satanée sottise
en
catimini
le
vent s'envole
vers
l'espace
rencardé
des pores
de
la peau
fort
de s'envoyer
de
toute prise
par
l'esprit
raréfié
en mots
insupportable
et
sonne l'hallali
la
retraite
de
l'inimitable
prétention
du corps
encore
mal fagoté
là
la chair
vibre
de ses plis
illimités
enfin
avant
ce saut
dans
l'essentiel
depuis
l'avant
aminci
de l'âme
escortée
par
les
partisans
de
l'inoubliable
ravissement
de
la nudité
tremble
le centre
historique
de
la
naissance
en
nourriture
rentrée
par l'être
quelle
rencontre
oiseau
débraillé
qui
picore
l’œil
de
l'émerveillement
le
destin
aux
sublimes
couleurs
du temps
pressé
le regard
qui
sauve et ôté
du
notre danse
d'une
peinture
déconcertante.
Thierry
Texedre, le 8 avril 2016.
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