« A bout de souffle...Le dire et le son »
reçu de VAV en commentaire du texte "le rêve lucide"
Oui, c'est un peut ce qui ressort de ce texte "le rêve lucide", que tout texte et toute musique sont à bout de souffle. Mais c'est aussi un espoir pour la parole qui est là pour réagir, prendre à pleins poumons ce que l'intelligence peut de résoudre les énigmes qui nous redressent et nous font vivre. Un texte peut dire sur le fil du rasoir d'un dire qui précède toute exposition au réel, prenant en charge notre intériorité pulsionnelle, et le sens de la locution verbale alors va d'elle-même entamer une procédure-téléscripteur, qui ressemble fort à l'écriture automatique des surréalistes. Recevez toute mon amitié, merci pour vos commentaires qui résument bien, et votre écriture qui vrille, torse la syntaxe et l'esprit humain. Thierry, février 2009.
Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
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