Une textualité qui recherche en permanence son écriture et sa peinture, sans toutefois entrer "en représentation", le lieu ? Une musicalité, pas dans "le son" d'une lecture qui reste aléatoire, mais dans ce qu'un sujet peut de penser: où en est son image, la scription ?
Peinture/Musique
samedi 14 juin 2008
à nu
cliché d'Ava Brodsky de Gouttes
Transpiration, sous quelle transaction
réagit-elle? Sous une seule et unique
fonction, celle de la respiration par tous
les pores, efforts sous le poids de la
relation intérieure à la mort; celle de la
chair. Quel calme tempéré sur cette
tempête recouverte, pour quelle âme
infamie ouverte au bord de l'écriture:
érotisme à venir. Le poids des corps va
moins peser à mesure qu'une économie
va s'installer: celle de la vie. La vie rend
compte de la naissance d'une mort libre,
d'une liberté que l'érotique prive de voir.
La respiration est la mise à nu du corps
plein d'une effraction: celle du voile qui
tombe sur l'économie érotique: le désir.
Thierry Texedre
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