dimanche 6 mai 2007

du pensant 13 - 1

en haut d'avoir mis en croix
le plus loin de cette fin
qui n'est que l'horizon celui
que la vue peut en tant qu'être
de ne dire que l'extase
de forcer l'être à rompre à tomber
s'il est descendu de sa divinité
pour déverrouiller le corps
pour l donner vie de n'être
plus en haut au dessus de sa
sexualité de son état d'animalité
qu'en est-il de cet état infâme
et insoutenable quand à ce qu'il y a
jouissance de ne pas être à cause
de l'âme de ce qu'elle tombe du ciel
pour qu'autour on suppose sa montée
d'un corps mort de sa signifiance
d'une insignifiance de l'inconscient
éprouvé autour de ce tour de force
du nombre en expansion du volume
qui fera perspective par une fuite
des corps par ce qu'ils ont fait
à l'un au sujet en cause
à sa tentative de voir
au delà du pensant des corps
si ce n'est de leur action dans un
cadre doublure d'une descente
aux enfers du fils fait homme
en terre entouré et recouvert
du tissus figural du linceul
du dire qu'il en vienne de la loi
que le nombre va rendre au carré
pour déplier ce qui s'y trame
pour que des pensants livrent
dans ce qu'une imagea d'entendre
du dire de la voix écho au vide
installation des allégories pour
longtemps désert par strates
mais toujours la voix de l'unique
qui fend le ciel pour laisser
sortir de l'enfer le temps
l'entre-temps qu'un purgatoire
viendra imprimer de penser
qu'un corps puisse souffrir quand
il n'a pas encore inventé le temps
puisqu'il jouit en attendant que l'un
joue de sa lumière pour aveugler
l'être pour le soustraire au nombre
l'enlever d'avoir été pensant
de croire ce que l'immonde tient
pour la clé qui va de l'ouvert au fermé
le retour à ce qui nomme d'y eux
l'être pensant par ce que deux
ne va naître qu'à cause de l'un qui
n'est pas d'eux mais de l'esprit
plaintes des chants funèbres
autour du corps allongé et
déposé comme en station

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